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    Le Pont Sidi Rached ou l'oeuvre qui "déshonore" la France. Construit au début du XX° siècle par des architectes Français, il possède l'arche en pierre la plus grande du monde. Aujourd'hui, pour son centenaire, quelques fissures inquiétantes exigent une intervention du génie Latin pour éviter son effondrement. Pour ceux qui connaissent Constantine, l'abîme vertigineux ne fait que rendre méritoire l'intervenant au-dessus du vide.
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    CONST
     

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  • De g. à dre.  TRIBET Paulette  et André, VILLENEUVE PAUL et SAILLENFAITS Paule-Simone de mère issue des Tribet.
             1921- Châteauroux. Chez le grand-père TRIBET SYLVAIN, instituteur et 1er adjoint au maire du chef-lieu de l'Indre. Simone, à droite s'imprègne de cette période où se rencontrent  cousins-cousines. Inconsciemment, elle s'efforcera de recréer cette ambiance à Solliès dans le Var. Photo ci-dessous.
     
     
     
     
     
     
    1980 - Solliès COUSINS COUSINES
     

     
    1984.-De g à dr :Valérie David - fille de Michel- une amie en noir Sabine Coppola- Florence fille de Michel- Marie-Caroline fille de Jacques David- Christophe Di Costanzo fils de Danielle née David
    Devant : Virginie, Delphine et Sophie filles d'Alain David- une autre amie- et Nicolas Di Costanzo.
    Ces enfants n'échappent pas à l'union des ascendants TRIBET-DAVID-SAILLENFAITS. (v. Généalogie)

     

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  • 1964- groupement familial à La Farlède

    Aux premières heures du rapatriement qu'il était bon de se retrouver. Habituellement, ce ne sont que mariages et enterrements qui occasionnent ces rencontres. Ici, nous sommes à La Farlède dans le Var. Philippe Di Costanzo (à g de Jean Balestrieri coiffé d'un chapeau) une fois de plus est au centre de familles regroupées. Ils ont tous le sourire des retrouvailles. Aucun membre présent n'échappe à l'identité de Balestrieri ou Di Costanzo. Commençons par la gauche.

    1°) Gustave De Angelis a épousé Evelyne Di Costanzo

    2°) Ursule Portelli ( sa belle-mère) a épousé Di Costanzo Thomas. Elle fut centenaire.

    3°)- Au Centre, Geneviève épouse de feu Jean Balestrieri installé à Constantine. Elle est entourée de ses enfants.

    4°)- Françoise Di Costanzo née Balestrieri épouse de Philippe Di Costanzo avec Jean Balestrieri et son fils Henri.

    DOCUMENT FAMILIAL DE LA PLUS GRANDE IMPORTANCE POUR LES DESCENDANTS AVIDES D'ARCHIVES.

    Rappel : si vous désirez plus d'informations sur le lien de parenté de chacun des membres ou bien si vous désirez mieux connaître l'un d'entre eux, allez sur Google, programmez Genea Balestrieri-Di Costanzo, vous serez surpris.


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  • Photobucket(zoomez)

                                                 1980- Démolition déjà présentée sur mon blog à un stade plus avancé. Pour les natifs de Philippeville, cette façade correspond à celle de l'Ecole Pasteur. Derrière les voûtes se profile le bâtiment "Du Commandant d'Armes"

    Commentaires.- J'arrive difficilement à  observer ce cliché sans éprouver une certaine émotion. C'est en ce lieu que joies, peines, tintement des cloches à toute volée lors des fêtes, glas de deuils...ont ponctué le quotidien avec en contre-point, l'horloge "qui dit oui, qui dit non, qui dit : je vous attend"-Brel. A chacun d'interpréter cette décision qui me touche. Je me garderai d'épiloguer, la tolérance que l'on m'a inculquée exige la discrétion. C'est tout de même un document à archiver pour tous ceux qui ont vécu des moments palpitants. Gérard


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  • Photobucket(zommez)

    1955-2011 : voilà 56 ans que nous ne nous sommes plus revus. Pourtant, des avis de recherche ont été lancés par tous les moyens de communications modernes. Je le croyais parti à l'étranger. A vrai dire, il "créchait" dans la rue où j'allais chercher ma future épouse au lycée, à Paris. Nous aurions pu nous rencontrer. Notre complicité d'ados avait fait de nous des copains fidèles, dis-je des amis. Or, la véritable amitié ne s'altère pas avec le temps. Nous avons pu le constater en nous découvrant grâce à Facebook. Les retrouvailles ont eu lieu à mon domicile. Inutile de vous décrire la joie. Notre première observation a été de nous dévisager en relevant les traits de notre jeunesse. Sincèrement, rien n'a changé, sinon quelques rides, témoins d'une vie laborieuse.


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