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                                       L'orchestre d'étudiants Philippevillois en 1959, dans les locaux de la Philharmo, sis rue Gounod à Philippeville. Dès 1954, sous la direction de Monsieur Lauro, la société musicale ouvre d'autres perspectives que celles du programme de musique de kiosque devenue obsolète pour la jeunesse. Elle intègre et centralise les différents professeurs d'instruments; pour le piano : Mme Braka née Coudenys originaire de Tourcoing et Madame Brincourt. Pour le violon, Madame Hubiche. Pour la chorégraphie, Madame Céran. Pour les instruments à anches et à embouchures, la formation continue d'être assurée par Monsieur Lauro solfège, direction, Monsieur Sealleli, prof de clarinette, et Monsieur Bücher, pour la trompette. L'Institut Musical organise chaque année un concours selon le programme des conservatoires départementaux. En fin d'année scolaire, les examens sont supervisés par le directeur du conservatoire de Constantine. (v. sur mon blog le programme de l'audition de mars 1955). C'est au cours de cette année que Monsieur Lauro abandonne son poste. Monsieur Coutelle, Président me nomme professeur de solfège. C'est à partir de cette nomination que les locaux vont devenir polyvalents. Club de danse, club de théâtre, club de conférence musicale... L'orchestre de jazz, photos ci-contre, disposera dès lors d'un local pour ses élucubrations. En voici la composition:

    Contrebasse :  les frères Noïque

    Piano : tour à tour, André Georges,Cenatiempo Jean, Di Costanzo Gérard 

    Drum : Di Costanzo Albert et Ramos Guy (+).

    Trompette:  Gabriel Teuma

    Trombone : Smith Claude

    Saxo soprano : Di Costanzo Giraud

    Saxo alto : Ruopoli Francis

    Pour plus de précision, rendez-vous sur le site de Suzette, adresse que vous retrouverez facilement car je la rappelle souvent. Gérard.


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                            En 1952, voici la formation de l'orchestre qui anima régulièrement à Philippeville le dancing du "Casino", sis Route de Stora, près du "Château Vert". Pour l'attribution de chaque instrument, vous référer sur mon blog à la rubrique "Photos". Ici, la formation joue dans la "Salle des Mariages" de l'Hôtel de Ville.

    Année 1952 :  Billardello Vincent, Billardello Joseph, Madame Yacono, Di Costanzo Jean, Tiano Auguste, Lo Monaco Roger. Un nouveau, avec moustache le 2ème violon et trompettiste Bourge.


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                                                  18 janvier 1950- apéritif concert au bar Excelcior

    Orchestre Billardello - récapitulatif 1 . Attribution des instruments: noms classés par ordre alphabétique.

    1°) Billardello Vincent (chef d'orchestre et violon)

    2°) Billardello Joseph (guitare et batterie)

    3°) Di Costanzo Jean (Saxo Ténor, Clarinette, Bandonéon)

    4°) Lo Monaco Roger (Saxo Alto, Saxo Soprano, Clarinette et Guitare)

    5°) Tiano Auguste (Contrebasse)

    6°) Madame Yacono (piano)

    A partir de 1957, au départ de Di Costanzo, d'autres musiciens sont venus se greffer sur la formation. Il s'agit de Ted, Bourge, Malléa...


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                                          Avant de cliquer sur les clichés suivants, regardez bien les deux individus. Nous sommes dans les années "50", à g. Gérard Di Costanzo au piano, à dr. Claude Smith, le tromboniste "perdu de vue". Après un demi-siècle de séparation, les retrouvailles de ce samedi 14 avril 2007 à Poussan (Hérault) vont nous bouleverser. Pour lire l'article sur nos activités musicales rendez-vous sur le site de Suzette la toujours dévouée : http://ecolerusicade.free.fr ouvrez le chapitre du Jazz  dans "autres liens" et vous serez surpris de voir tout l'orchestre dans ses activités jazzistiques...Gérard.


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                                      "Perdu de Vue" durant 47 ans, retrouvailles à Poussan en ce 14 avril 2007. A g. Claude Smith le tromboniste, à dr. Gérard Di Costanzo le pianiste. J'ai rarement été présent dans ce genre de réunions. Cependant, je tiens à rappeler qu'en 1981, à Fréjus, l'orchestre de Jazz a retrouvé son noyau. Seul, Claude manquait à l'appel. Je viens dans l'Hérault avec ma clé USB en évidence- vous la voyez pendue à mon cou-, dans  l'idée de récupérer quelques souvenirs, j'en attrape un au passage en "chair et en os". C'est sensass! La pratique du jazz a tissé des liens d'amitié qui nous ont réunis chaque été depuis 26 ans...sans le trombone hélas... Dorévavant, nul ne peut ignorer l'autre. On comprend que cette forme musicale ait pu catalyser tout un peuple noir. C'est un courant de sympathie que nous avons partagé lors de notre jeunesse. Plus rien ne peut l'atteindre.


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