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                                          Nous sommes dans les années 60, ces trois couples de frères et belles-soeurs sont un lot de consolation pour les parents Philippe et Françoise Di Costanzo, spoliés en 1962. De g. à dr. Gérard Di Costanzo et son épouse Danielle née David, Albert Di Costanzo et Micheline Chabredier, Aimé Cuny (frère adoptif et adopté pleinement) et sa femme Jocelyne Barket. Dans son cadre, la photo de Pierre Chabredier père de Micheline, il venait de décéder.


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                  n°1                                          n°2                                             n°3                                   n°4

    photo 1 : le mont Ipomeo, intouré de légende. Anciennement, cratère utilisé pour conserver la glace d'hiver servie en été. (dixit Philippe, mon père)

    photos 2 et 3: carte de l'Ile, faisant ressortir trois points de nos racines : Ipoméo, Barano, fief familial, et San Angelo, petit port de pêcheurs d'où nos ancêtres sont partis pour l'Algérie (période 1850-1880).

    photo 4 : extrait de Magasin ou Magazzine 1835


                              Autre vue du petit port de pêche au temps de nos ascendants. Ils sont partis à l'aventure pour s'orienter vers l'agriculture, leur spécialité. Leur terroir est Barano, plus à l'intérieur. Aujourd'hui, Google Earth dévoile la nature dominante du relief. Un sommet volcanique Ipoméo, avec son cratère, servait de conservation de la neige tassée naturellement devenue  glace pendant la période hivernale et exploitée pendant la période estivale. La revue "Magasin" de 1835 (phonétiquement transformé par les anglophone en "Magazzine" de même que pénalité est devenu "penalty"), cet hebdomadaire de l'époque, vante ce lieu déjà touristique fréquenté surtout par l'aristocratie. Les glaces nappées de sirops de fruits récoltés fraîchement faisaient le délice des visiteurs et des autochtones.
    Familles concernées originaires de cette Ile et de Procida : Apréa, Balestrieri, Bocanfuso, Buono, Cuomo, Di Costanzo, Di Meglio, DiScala, Migliaccio, Monti, Scotto, Scotto di Vettimo, Tarlercio...


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                                                          Une des rares photos de Jean-Baptiste Di Costanzo (1851-1930). Celle-ci extraite d'un cliché de groupe, a été prise le jour du mariage de Thérèse, sa dernière fille avec un autre Jean-Baptiste Di Costanzo, un homonyme. J-B a été amené à quitter l'île d'Ischia pour Philippeville à 19 ans, après le séjour d'Antoine son père. Parti de rien, il fut d'abord employé comme journalier agricole. Il devint locataire d'un lot à l'Oued Louach, accès par les "Quatre-Chemins". Gros travailleur, grand économe. Il ne tarda pas à  devenir propriétaire et à phagocyter les terres environnantes. Il termina son périple avec trois propriétés destinées à ses trois fils : Thomas, Philippe et Pierre. Son plan ne pourra se réaliser. Il fallait satisfaire les nouvelles familles issues des quatre filles : Brigitte, Philomène, Marie et Thérèse. Il mourut dans la double déception d'abord son plan d'héritage avorté et le décès de son plus jeune fils Pierre à l'âge de 30 ans, victime de la "grippe espagnole".
    Portrait : taille moyenne. Visage ressemblant à celui de Gounod. Sourire sarcastique. Force de caractère : surnommé Pédénès à la suite de son auto-défense ( se dispensant de l'avocat,alors non obligatoire), il est convoqué au tribunal  pour un litige sur la mitoyenneté. Illettré mais très intelligent." Il n'aimait pas qu'on lui marchât sur les pieds". Il demeure une figure très représentative dans la lignée des Di Costanzo.


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