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    rang du fond : 4°) Cajarc Jean-Louis 6°) Cazelles Mario ou Christian 8°) Vandemberg Alain
    Milieu : 1°) Laborie  2°) Roumagnac   5°) Cazelles  Christian ou Mario 6°) Bouzinac Maguy Bousquières Claude
    Devant : 1°) Goulard Elisabeth 3°) Vidaillac  Maryse 6°) Seryes Françoise 7° et 8°) les soeurs (?)
    Commentaires : ceux qui ont découvert initialement mon site doivent se rendre compte que ces noms sont étrangers à nos racines algériennes. Pourtant, c'est en ce lieu que la transplantation va prendre et créer de nouvelles racines. Le scion était heureusement assez jeune pour repartir des entrailles de ce sol aux confins du département. La greffe sera d'autant plus résistante que le greffon guépien a fait ses preuves à travers le temps. En horticulture, on recherche les anciennes variétés plus coriaces pour lutter contre les maladies. Dans le même ordre d'idée, je puiserai dans ce village toutes les ressources nécessaires pour consolider mon caractère. C'est en ce sens que les élèves présentés peuvent figurer comme mes nouvelles racines, sans que je renonce au sol qui m'a vu naître. Dans mon Edito, je vous avais signalé 3 500 élèves, ce qui se confirme.
    Ont été mes élèves en cours particuliers d'instruments:
    1-Amen Marie-Noelle ( +,piano)
    2-Antunès Dominique (guitare)                                  27- Pauzié Jean-Pierre ( Saxo Ténor)
    3-Blanquet Bernard (guitare)                                     28-Raucoules  Marie-Paule (piano)
    4-Bories Michel (clarinette)                                       29-Regourd Luc (clarinette)
    4(bis)-Rigal  Christian                                                30-Remesy  Dominique (trompette)
    5-Boyer ( choix d'instrument oublié)                           31-Roumagnac Claude (accordéon)
    6-Cajarc Jean-Louis (clarinette)                                 32-Roumagnac Marie-Françoise (accordéon)
    7-Carlini Marie-Noelle (piano)                                   33-Roumagnac Maryline (accordéon)
    8-Castelnau (oublié)                                                   34-Roumagnac Pierre (accordéon)
    9-Ceccarelli Corinne (piano)                                      35- Rubio Adolpho (guitare)
    10-Ceccarelli Gilles (piano)                                        36-Soulignac Jean-Luc (clarinette)
    11-Céré Pierre ( +, Piano)                                         37-Vidaillac Maryse (accordéon)
    12-Clément Jean-Claude (oublié)                               38-Viscons Nadine (accordéon)
    13-Dodier Marc (piano)                                       Noms cités de mémoire, j'ai dû en oublier d'autres.
    14-Estivalezes Jean-Luc(piano)                             Ne figurent pas les nombreux élèves de Verfeil,
    15-Fabre Alain (clarinette)                                   et les Epiter de Najac.
    16-Fournier Bernard (oublié)                               Remarque : j'ai pu assurer ces heures de cours,
    17-Frayssinet Aline (accordéon)                          lorsque mes tâches au collège se limitaient à
    18-Garrigues Gérard (clarin. et Saxo Soprano)    l'Administration. Sitôt affecté à la Direction, il m'a
    19-Goulard Elisabeth (accordéon)                     fallu renoncer à l'enseignement musical.
    20-Lacroix (clarinette)                                    Je dois remercier les élus de l'époque qui m'ont aidé.
    21-Lasserre Dominique (Saxo Ténor)              Le maire Regourd (+) et son successeur  maire et
    22-Loubiès Nadine (accordéon)                    Conseiller Général Bories Elie. L'école prospère se
    23-Mercadier Christian (Guitare)                  chargeait d'inscrire les doués et les moins doués...
    24-Mercadier Claude (Guitare)                    La musique est un art difficile, souvent mal perçu dans
    25-Mercadier Daniel (accordéon)                les collèges, surtout si l'on ne s'en tient qu'au
    26-Otrebsky Gérard (oublié)                       programme qui ne satisfait que les Inspecteurs.Le poste de Conseiller Pédagogique en Education Musicale m'a permis d'obtenir le CAPFIM, mais l'application sur le terrain risquait de déstabiliser l'esprit conservateur des programmes. N'en déplaise à cet I.P.R. qui se trouvait à mille lieues des goûts de la jeunesse. A la direction de Montauban-Centre, de 1984-97, je vais bénéficier d'une totale autonomie sur le choix du répertoire, celui où les élèves de mon établissement auxquels se sont joints ceux des collèges et lycée de la ville vont transcender le b.a.-ba musical sur  la scène du Théâtre Municipal. Moments sublimes.Et toc! Merci Monsieur l'Inspecteur, je vous plains dans votre retranchement, tandis que la musique est un Art de Communication par excellence. Je ne sais pas qui des deux a éprouvé le plus de plaisir dans sa carrière!!!! Heureusement! J'ai croisé d'autres Inspecteurs et Inspectrices musiciens ou simplement mélomanes qui ont fait montre de plus d'ouverture. Je veux citer Monsieur Soulié, fils du Chef de l'Harmonie Najacoise; je veux citer le fougueux Monsieur Chapeau, poète et artiste; je veux citer Madame Imbert, ouverte à toute vocation; je veux citer Monsieur Montet, flûtiste d'excellent niveau, qui, lui, s'est joint à nous avec simplicité et compétence...Heureusement que l'Education Nationale compte des éléments de valeur qui nous ont laissé des traces dignes de respect. Ils furent mes supérieurs hiérarchiques. Ceux-là ont été remarquables, ils méritent  que je leur sois reconnaissant.



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    Rang du fond : 1°) Durand 2°) Tranier Daniel de Varen 3°) Kerninon (+, fils du garde-barrière)  4°) Vidaillac, actuellement commerçant au village 5°) Miquel 7°) Lafon Joseph 6°) Ducor Serge.
    Rang du milieu debout : 1°) Vialelles  2°) Raucoules Marie-Paule 4°) Savy Marie-Hélène 5°) Laurens Francine7°) Guibert Alain 8°) Blanquet Bernard
    Devant : 1°) Castelnau Jocelyne 4°) Basse Michèle 6°) Garrigues Claudie employée à la DDE de Cahors 7°) Velasco Louis
    Que sont-ils (elles) devenus (ues)?
    Au hasard d'une rencontre, je suis heureux d'apprendre qu'Untel habite tel lieu, Untel a choisi tel métier. Suite logique de l'esprit communautaire Guépien. Comme si nous avions fait partie d'une même famille. Ainsi Vidaillac a pris la quincaillerie du père venu de Verfeil à Laguépie, il y a quarante ans, son fils a pris la succession, et il y réussit. Marie-Paule Raucoules est revenue "roucouler" sur sa terre de jeunesse en y bâtissant pour ses vieux jours. Beaucoup de Guépiens de souche feront comme elle.  Son père, longtemps 1° adjoint au maire, nous a divertis en gérant une "salle obscure", sa mère, mercière, était loquace et chaleureuse  avec sa clientèle. Marie-Paule, sa fille, tient d'elle : lorsqu'elle venait prendre son cours de piano à mon domicile au Puech Haut, elle ne manquait pas de joindre la gestuelle pianistique à la parole très pertinente pour son âge. Observez-la sur le cliché, elle est sur le point de pouffer de rire. Chez elle, c'est une constante. Quant à Guibert Alain, il s'est sédentarisé sur la magnifique propriété des parents. Durant des années, il a loué une parcelle sacrifiée à la piste du Moto-Cross qui, en 1970, s'était taillée une réputation internationale. Pour ce qui concerne Garrigues, je ne peux que vanter l'exemplarité d'une famille nombreuse bourrée de talents. Laborieuse. L'un est 1° ouvrier de France, l'autre cuisinier haut de gamme(v. plus loin) je cite ici Gérard qui apprit à faire vivre le piano de cuistot auprès de sa maman, comme beaucoup de maîtres-queux. De ce piano de cuisson au saxo soprano, il n'y a qu'un pas...Il savait se livrer dans les deux activités. L'art culinaire et l'art musical demeurent  indissociables.
    Histoire de ne pas oublier : la tante de Marie-Paule qui occupait le dernier étage de la pâtisserie Gérin, l'incomparable artisan, lui prêtait son piano pour qu'elle puisse étudier. Cette mélomane me montra du doigt la salle où dans les années 40, le chanteur Sacha Distel Gestapo. Tandis que son oncle Ray Ventura dirigeait son grand orchestre, en restant au courant du repli protégé de son jeune neveu. Entre Castelsarrasin, leur point de départ et l'Ouradour, le lieu d'atrocités, les bourreaux auraient  pu faire une halte à Laguépie, mais ils avaient programmé une mission plus macabre...Je pense que le guitariste-jazzman Sacha a bénéficié de complicité. Je ne puis que rappeler le fait pour ne pas oublier les risques encourus.
    s'était réfugié pour échapper à la

     


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    Rang du fond de g. à dr. 1°) Mercadier Daniel 3°) Bousquières 4°) Rubio Adolpho 6°) Dodier Marc, fils du vétérinaire 7°) Roumagnac fils cadet du boulanger.
    Debout, rang du milieu : 2°) Mercadier, fille de Marcel, directeur de l'usine de chaussures "Annick", futur maire 4°) Biscon Nadine, a épousé Mercadier Daniel 7°) Pilot (?)
    Devant : 1°) Roumiguières de Sommard 3°) Roumagnac 5°) Delperrié Denise de Puech-Mignon 6°) Garrigues Gérard, éminent cuisinier, longtemps propriétaire du restaurant Toulousain "Le Pastel" 7°) Soulignac Jean-Luc
    De cette classe ont été mes élèves en cours particulier d'instruments :
    Dodier (piano) -
    Mercadier Daniel - Roumagnac (fille) - Biscon (accordéon)
    Soulignac (clarinette)
    Garrigues (clarinette et Saxo soprano)
    N.B.- le nom de Mercadier (marchand, commerçant) était assez répandu à Laguépie. Les échanges commerciaux entre les territoires Tarnais et Aveyronnais, de même la situation géographique du confluent ont facilité le développement de cette commune rurale. Rurale à juste titre, les paysans venaient s'y ravitailler. Le déclin des commerces a commencé vers  1966-67. L'automobile, l'autonomie, les déplacements faciles vers les villes, le collège fermé, les parents vont récupérer leurs enfants en faisant leurs courses. Tout cela a pénalisé les commerces qui ne pouvaient plus concurrencer La Grande Distribution. Cette période transitoire, je l'ai vécue avec beaucoup d'amertume. Car, en même temps, c'est une tradition culturelle qui a disparu.Aussi, lorsque 30 ans après,  l'un de mes supérieurs osa lancer en réunion d'enseignants ces propos provocateurs : " Je suis chargé(e) de favoriser d'abord la réimplantation des structuresdans le Rural..." -  Après la magistrale décapitation du collège de 1967, j'ai perdu mon sang froid, l'assistance présente n'a pas dû me comprendre! Lisez ce qui suit sur ce blog et vous saisirez les raisons de ma révolte. Citoyens, si vous voulez tenir le coup, il est préférable que vous soyez amnésiques!!!!!

     


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    De g. à dr. trois copines puis Di Costanzo Marie, Di Costanzo Danielle née David et son époux Gérard.
    C
    e jour-là, le 12 juillet 1970, ma soeur Marie, venue de Toulon pour passer ses congés en Espagne, a fait un crochet par Laguépie avec ses copines. Cette visite de courtoisie se justifie surtout parce qu'elle n'aurait pas voulu que sa belle-soeur Dany accouche de Christophe tandis qu'elle se serait trouvée à l'Etranger. Pourtant, c'est ainsi que le scénario va se dérouler. Elle ne verra son neveu que le lendemain de sa naissance, le 28 juillet, à la clinique de l'Union.
    Commentaires :
    l'appartement de fonction de type T4, est spacieux. Le balcon à lui seul, le fleuve à ses pieds, lui confère le titre "d'Hôtel 4 étoiles" J'aurai le plaisir de recevoir à l'aise ma famille Varoise, contrairement à l' "appart" de mes débuts, où les proches sont venus me rendre visite avec moins de confort. Les plus assidus, Duprat Bernard
    (décédé en novembre 1974), avec son épouse Germaine née David, tous deux enseignants.Ils ont terminé leur carrière à Besançon, elle comme directrice d'école et lui, ex-instituteur a fini professeur à l'école d'Horlogerie  de l'ancienne capitale de la Franche-Comté. Tous deux ont fait leur début à Mouchard dans le Jura. Ils aimaient venir à Laguépie qui rappelait leur début de carrière. Mais, fin pêcheur à la truite sur la Loue, il fut emballé par le Viaur, admirable site pittoresque. Il y jetait " la mouche" qu'il prenait goût à façonner. Téméraire, il partait tôt le matin, parfois vers quatre heures, sans préciser le lieu de destination. Monsieur Blanquet, menuisier à Laguépie, le père d'un autre Bernard,  l'un de mes élèves, guidait mon oncle dès la période d'ouverture. Je serai amené à faire le portrait de  Duprat, ce Franc-Comtois hors du commun.
    Analyse du cliché. Réflexions. Le portail termine cette voie sans issue pour les véhicules. La première maison à droite appartient à la famille Delitch, boucher. Plus loin à gauche, la gare. De mon temps, c'était un lieu de rendez-vous animé. Une ouverture sur le reste du monde. La première année, la seconde, je cherchais ma chère Méditerranée que je voyais de mon balcon à Philippeville. Puis, progressivement la vie de cette commune m'a accaparé, dis-je, m'a happé. Au fil des jours, la douloureuse nostalgie de mon pays d'origine s'estompait. Le cadre et le calme du paysage, les passions humaines locales ont pris l'ascendant sur les souvenirs de là-bas. L'hyperactivité ne vous laisse pas le temps de broyer du noir. De plus, les transplantés sont plus audacieux que les autochtones soumis à des critiques de voisinage. Ce terrain favorable va  permettre d'exploiter mes aptitudes en les mettant au service de la population. Ce soutien et cette réciprocité entre nous seront une gageure de réussite. Seul inconvénient, ces gens n'apprécient pas qu'on les quitte, c'est légitime. Pourtant, mon départ s'effectuera à contrecoeur. J'ai donné les raisons au maire en place. Je ne voulais plus revivre les moments dramatiques subis le nuit de la naissance de mon fils aîné.(v.plus loin). De plus, il arrive que passer dix ans au même endroit, on courre le risque de tomber dans la routine professionnelle; je l'ai toujours redoutée et évitée. Pour un enseignant c'est le pire des maux.


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    Analyse d'une situation atypique. Si vous comparez l'effectif de 37 élèves avec celui de Madame Saillenfaits en 1932, la grand-mère de mon épouse (v.plus loin) je me trouve avec le même nombre d'enfants. En 1900, au début de sa carrière, elle hérita d'une classe de 75, puis de 55 pour finir à 35.
                    Entre 1970 et 1973, période éphémère, je suis confronté à un cas de figure des plus inattendus. Le Ministère décide de fermer les collèges ruraux. Ce fut une erreur incontestable. L'avenir le confirmera. Dans le Département, deux d'entre eux devront disparaître. Celui de Laguépie et celui de Verdun/Garonne. Le destin me désignera comme successeur des directeurs mutés. Eux ne sont jamais perdants. La stratégie est connue. On leur offre un poste au grade supérieur.
                         Laguépie est une commune, Verdun, un chef-lieu de Canton. Laguépie est plus isolé, Verdun plus ouvert, il est situé aux portes de Toulouse, proche de Grisolles. L'effet destructeur ne sera pas le même. Les Guépiens seront plus exacerbés, on les comprend! C'est une économie rurale qui sera atteinte. Bien que citoyen d'adoption, je dois beaucoup à cette population avec qui je me sens solidaire. N'est-ce pas elle qui m'a aidé à effacer le douloureux départ de mon pays d'origine? Malgré moi, je suis devenu accroc et je partage cette "psychose" qui affecte les habitants concernés. Ces périodes de tension sont douloureuses à vivre. Les décideurs d'En-haut, en sont-ils vraiment conscients? Je ne suis pas en mesure de quantifier l'impact que je réaliserai. Par contre, avant de quitter mon poste pour Verdun,, je vais me dépenser en y mettant toutes mes réserves d'énergie.En effet, dès ma nomination aux nouvelles responsabilités à Laguépie, j'ai pris à coeur mon rôle de directeur, la gentillesse des gens n'est pas étrangère à mon engagement. Au cours de mes 3 directions avec pour chacune une durée moyenne de douze ans - Laguépie, Verdun et Centre de Montauban- certains de mes supérieurs me reprocheront de diriger l'établissement comme une entreprise Privée. J'en suis flatté, voyez-vous une  méthode plus efficace? D'autres me reprocheront d'y mettre trop de passion...devant de tels jugements, je n'ai jamais faibli. Car, ce métier n'est pas fait pour plaire d'abord "aux gradés". Je reconnais que leurs observations n'étaient que verbales. Aucun d'eux ne m'a sanctionné, j'en suis reconnaissant. Je leur dois le "Hors Classe".  Ma motivation sera celle de privilégier l'enfant, le premier concerné, cet admirable être  spontané qui passe à mes yeux avant l'adulte. Sans ce choix, je n'aurais pas pu tenir sept ans au-delà de l'âge requis pour la retraite. Mon obstination a payé sur tous les plans. Le plus beau cadeau sera ce 27 juin 1997. Pour mon départ à la retraite, une foule composée d'enfants, de parents et d'enseignants, m'offrit le "Nirvana". Je n'ai jamais quitté l'un de ces  postes sans qu'une larme ne perle au coin de l'oeil. Mais cette fois, ce sera un flot de larmes émouvantes J'atteindrai ici le sommet de ma carrière, grâce à l'équipe qui m'entoure. Cette homogénéité est rarement obtenue. J'en profite pour remercier tous les collaborateurs et collaboratrices, et ils sont nombreux....Observation à relever: la population citadine de Montauban a prouvé qu'elle pouvait être, elle, aussi chaleureuse que la population rurale....
                                 La suggestion que je me permets de transmettre aux débutants  Pédagogues : "Si vous ne supportez pas l'enfant, ou pire,  si vous ne l'aimez pas, il est temps de protéger votre santé en vous orientant vers un autre métier...Sinon, vous entrez dans un rapport de force, celui des prédateurs". Le gosse ne s'y trompe pas...
                                           ----------------------------------------------------
    Je pense être en mesure de désigner par leur nom 32 élèves sur 37:
    Fond de g.à dr. 1°)Bousquières Bruno 2°) Bousquières Stéphane 7°) Balsa Alain du Tarn 8°) Savignac Gérard 9°) Laurens Martine 10°) Ceccarelli Corinne 11°) Tranier Evelyne12°) Castelneau Michel
    Rang du milieu  : 1° Bournazeau Martine - 2° Rous Martine 3°) Balsa Marie-HélèneFrézouls Christiane 5°) Rouquette  6°)Estivalèzes Jean-Luc 7° )
    Bournazeau François
    - 8°) Remesy Dominique 9°) Horwarth Jean-Philippe10°) Espesset Jean11°) Poux Patrick 12°) Rouquet Annick 13°) Delperrié Josette.
    Premier rang accroupis : 1° Bories Michel 2°) Laurens(?) 3°) Castelnau Claude 4°) Ceccarelli Lydie 5°) Fabre Alain 6°) Brehm Sylvie 7°) Blanpied Jean-Luc 8°) Delperrié Solange  9°) Philippe Marc  11° Ceccarelli Gilles 12°) Roumiguières Jean-Pierre du Tarn

     


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