• Scène hallucinante que le reporter de l'époque a fixée sur sa plaque de cuivre. Tranquillisez-vous, depuis la "Ville Rose" a construit des digues sur les rives. Mais, sachez qu'en 1930, la conjugaison de la fonte des neiges et les pluies torrentielles de mars ont causé des dégâts supérieurs dans toute la région Midi-Pyrénées, voire Agen. Quand "Garonne" est enrhumée : gare! (extrait de ma collection les "Illustrations" de la même année) -
    • (Rappelons qu'avant la photo, les évènements étaient  ainsi fixés).


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  • Chef d'oeuvre mélodique et harmonique


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  • Noïque Georges et Di Costanzo Gérard au turbin
    Noïque Georges à la Contrebasse et Di Costanzo Gérard au clavier, le duo anime un gigantesque apéro sur les Hauteurs de Toulouse. Dans les pièces jazzies qui suivent téléchargeables, c'est une complicité qui date de Philippeville et dont le prolongement se fera sans interruption dans une ambiance Montalbanaise .
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  • 024

    1956-59- Cours de Steno-Dactylo, avec Mlle Eschennbrener. Di Costanzo Marie, robe à fleurs, gant blanc appuyé au dossier du Professeur. Devant elle Irène Bourge.
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    1957-Noël BP

    1957- Arbre de Noël à la Banque Populaire de Philippeville. Marie est derrière le Président Monsieur Bourgarel père. A g.  la famille Formosa Maurice est au complet. A dr; Mr Di Gregorio
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    1969 - Marie et l\'inauguration de la Banque Hyéroise

    1969.- Inauguration de l'Agence Banque Populaire à Hyères. Marie est encore en robe à fleurs repérable à la pointe du micro.

    1976-RuniondesDirecteursGrraux-Tour
    1976.- Réunion des directeurs Nationaux de la BP à la Tour de Toulon. Marie: 1ère à dr. de face, fondée de pouvoir elle accompagne le patron.
     
     
    Née le 8 octobre 1938, veille de la 2nde Guerre Mondiale, elle prendra conscience du conflit, des bombardements durant sa toute première enfance. J'ai choisi quelques souvenirs professionnels marquants. Je rappelle que son ascension s'est faite d'abord parce qu'elle a passé ses concours de Banque, ensuite et c'est là sa valeur, elle la doit à sa  discrétion, son efficacité,  son intuition. Elle a combattu les responsables sortis des Grandes Ecoles qui mettaient en péril la stabilité de la Maison. Ce flair, une fois de plus, ne s'apprend pas à l'école. Héritage familial, de sa grand mère  Philomène Balestrieri , de sa mère  Françoise  et de son oncle Jean Balestrieri. Véritable sceau fami lial. Aujourd'hui, elle aurait 74 ans. Elle aurait dû mériter une retraite paisible. Hélas!
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  • Di Costanzo Françoise (1901-1971) née Balestrieri
    UNE PEDAGOGUE QUI S'IGNORE. Aujourd'hui, anniversaire. Toulon, La Loubière, le 22 juillet 1971, midi sonnant, Françoise Di Costanzo  née Balestrieri s'éteignait, "suite à une longue maladie", selon la formule tolérée. Pourtant, perdre sa maman, est un évènement douloureux et unique. Rien de plus émouvant, de plus sublime que cette déchirure. Son trait de caractère dominant : positive, enthousiaste, extravertie, excellente manager. Guère attachée aux détails. Je lui dois ces vertus. D'elle, j'ai appris ce que toute maman devrait imposer à son enfant. Je veux citer un seul mot, mot essentiel : le BILAN de chacune des journées. Apparemment quelle importance, direz-vous? Il n'y a de crédible que l'expérience personnelle. Je puis donc vous confirmer que les résultats ont été probants. Lorsque l'ex-Directeur de l'Ecole Normale de Montauban, Monsieur VAN PEN me demandait d'établir le bilan d'une journée de classe, j'étais déjà forgé à l'idée que l'on m'avait inculquée dès le plus jeune âge.

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  • sud tunisien  1ot - 1914-18
    C'est ici que Philippe Di Costanzo découvrit un paysage hostile : température excessive étouffante, eaux saumâtres, il en revint non sans problème de santé manifesté par des complications rénales. En plus, n'ayant point les vertus du dromadaire, il fallait prendre soin du cheval. En 1916, le régiment spahi n'eut pas que du plaisir au programme. Ici, il fait partie de l'éprouvante expédition. Nous enfants, notre père ne cessera d'en parler comme étant un redoutable souvenir en raison des séquelles.
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  • Grde Famille chez Lolo2ème document mettant en archive la rencontre des Balestrieri et Di Costanzo. Ils ont une histoire commune. Histoire intime.  3 chefs de famille sans lesquels personne ne serait sur le cliché. Debout 1er à g.   Di Costanzo Philippe  . Dernier à dr canne en main   Balestrieri Jean  . Accroupi à dr   Balestrieri Roch.   Tous trois issus de la terre, tous trois ne verront aucun héritier poursuivre cette voie en Métropole. Seul   Ange Balestrieri   (bras croisés) s'engagera dans l'élevage avec une audace digne d'un "Balez". Le groupe est sur ses terres à Pontevès (Var).
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  • Code du clairon
    Manuscrit dont l'auteur est le portrait  qui suit, c'est-à-dire Di Costanzo Philippe. Affecté à Sfax au 4ème Régiment de Spahis. Dans le civil, Il était un excellent joueur de Cornet à Pistons. Il sera tout désigné pour réguler le rythme de la garnison,et ce avant de se rendre au front en Métropole.L'armée et ses conventions sonores possédaient, malgré tout,quelque chose de romantique. Il en va de même pour les écoles qui ont préféré le "dring" strident de la sonnette à la cloche tintant. A l'occasion, rappelons la mémoire de ces joueurs de biniou, en tête du régiment donnant du baume au coeur pour progresser face à l'ennemi.
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  • Dois-je me présenter pour que vous cerniez mieux le blog? Il serait présomptueux de ma part de me citer sans au préalable privilégier les artisans pionniers qui ont créé la dynamique. Je veux citer Philippe Di Costanzo, mon père, et son neveu Roger Balestrieri. Deux complices. Deux êtres soucieux de ne pas enterrer la mémoire familiale.

    Photobucket(zoomez)

                        Observation : que dire de ce personnage âgé ici de 73 ans? Visage à peine ridé, visage bronzé par le travail de la terre, visage souriant malgré l'expropriation récente, visage heureux d'être en Métropole, son vieux rêve. Il assurera encore 15 ans de travaux dans les jardins Toulonnais et Hyérois. Du statut de propriétaire fait de soucis à celui de journalier fait de liberté, sa joie ne passe pas inaperçue. Deux symboles visibles  qui le caractérisent  : le goulot d'un incomparable vin "made in home", et en arrière-plan, le pupitre du piano témoin de ses dons pour la musique.

                         A toute fin utile,  il faut vous préciser que le désir d'ouvrir ce blog, fait suite à l'influence de deux personnages précités il s'agit de mon père Philippe Di Costanzo (1894-1982) (photo ci-dessus)

    et de son neveu Roger Balestrieri (1922-2004)

    Photobucket

                qu'il faut considérer comme pionniers. Le premier en sensibilisant le second à établir une généalogie succincte afin de ne pas oublier ceux qui sont restés là-bas, dans les tombes familiales. Ce qui incita  le second à s'exécuter non plus succinctement, mais en se lançant dans des recherches de pièces d'Etat Civil qui dureront plus de vingt ans. Tout ce qui suit n'est qu'application élargie. C'est le principe même de toute genea. Un arbre mathématique aux ramifications binaires sans fin. Bref, je ne suis donc qu'un chaînon. Les acteurs qui vont dynamiser ces travaux seront Albert Di Costanzo en les saisissant sur ordinateur et Philippe Balestrieri en les divulguant sur Internet ( v. Liens)

                Quant à votre serviteur, Gérard Di Costanzo, son souci a été d'animer les personnages vivants ou disparus. Ils sont légions. Autobiographie illustrée qui devrait aussi concerner beaucoup de mes compatriotes, qu'ils soient originaires de mon pays ou bien qu'ils soient liés à une carrière riche en découvertes. En me présentant, je dois honorer un portraitiste d'Art de Philippeville, Monsieur Landais. En 1961, je lui demandais d'arranger une photo d'amateur. Il le fit sans que je lui donne le temps de la terminer. Aujourd'hui, un logiciel rend banal, ce travail d'artiste du "cousu main".

     

    Photobucket(Zoomez)

    Photo amateur prise au cours d'une Jam-Session dans ma villa à Philippeville.

    Photobucket(Zoomez)

                  N'attachez pas trop d'importance à l'individu. Appréciez plutôt le travail réalisé au pinceau par le Maître d'Art, qui tenait son Studio de Photographe, Rue Clémenceau à Philippeville. Sous les arcades, sa vitrine exposait de magnifiques clichés grand format.  En passant devant tous les jours, nous étions si habitués qu'on n'en appréciait plus la valeur.  Il se distinguait des autres portraitistes par le goût du beau, de l'esthétique. Je suis fier de lui rendre hommage ici. Vous remarquerez que j'ai choisi ce dernier document pour m'identifier dans ma correspondance.


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